"Happy Few" : le nouveau désordre amoureux
di Jacques Mandelbaum Le Monde
Une naissance à Tours voici trente-sept ans dans un milieu ouvrier, une entrée à l'école de la Femis par la petite porte du montage, deux courts métrages réalisés en 2000, dont un primé à Clermont-Ferrand, puis deux longs métrages. Le premier (Douches froides, 2005) a été présenté à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes puis a remporté le César du meilleur premier film ; le deuxième (Happy Few, 2010) a été directement sélectionné dans la prestigieuse compétition de la Mostra de Venise, dont il revient à peine. [...]
di Jacques Mandelbaum, articolo completo (4853 caratteri spazi inclusi) su Le Monde 15 settembre 2010