Thomas Sotinel
Le Monde
"Broken English" : toutes les liaisons mènent à Paris
Quelle bonne idée que de sortir ce film aux alentours de la fête nationale. Broken English met au goût du jour (post-rock, post 9/11, post Bush) la vieille réplique de Casablanca : "We'll always have Paris". Cette fois, ce n'est pas Humphrey Bogart qui rappelle à Ingrid Bergman les vertus aphrodisiaques de la Ville Lumière, mais Melvil Poupaud qui démontre à Parker Posey que le vrai remède à l'aliénation féminine new-yorkaise prend forcément la forme d'un joli Parisien coiffé d'un panama. [...]
di Thomas Sotinel, articolo completo (2251 caratteri spazi inclusi) su Le Monde 16 luglio 2008